Ayant eu un énorme succès les années antérieures, nous avons donc décidé de relancer l'opération. Il est disponible au secrétariat.
N'hésitez pas à en commander, il y en a pour tout le monde.
Pour rappel : 4 eur la bouteille de "Gourbandine" Uniquement en vin rouge. Dépots : - au bureau de l'asbl - chez Mr et Mme Hugo, chemin du Calvaire, 58 à Malmedy
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Envie de partir, de découvrir de nouveaux paysages, de découvrir une
autre culture, d’ouvrir ton horizon ?
Depuis
plus de 10 ans maintenant, l’ASBL « Enfants de la Paix » permet à de
jeunes gens de partir en chantiers de solidarité.
En 10 ans, ce ne sont pas moins de 140 jeunes qui sont partis, encadrés
par l’association, pour une durée d’un mois en Inde. En 2007, six jeunes ont
pris le départ d’un voyage qui les a menés au home d’Hyderabad pour un
chantier-construction.
Partir en chantier, c’est une expérience inoubliable, faite
de rencontres et de souvenirs tout aussi inoubliables.
C’est
aussi une préparation, un travail de groupe, un cheminement de plusieurs mois
vers ce voyage. C’est aussi un investissement personnel important, avant et
surtout pendant le séjour. Et au retour, c’est un souvenir qui reste en soi et
qui change, à coup sûr votre manière d’appréhender la vie.
Pour avoir le formulaire afin de t'inscrire : clique ici
· A
Hyderabad : Nous accueillons sur place des jeunes filles non-scolarisées âgées
de 15 à 25 ans. Elles apprennent durant 6 mois les différents métiers de la
coutures (coudre, couper des tissus, broder, dessiner sur des tissus). Après
cette période, elles peuvent trouver du travail dans les usines de confection
ou s’installer à leur compte. Nous aidons 50 jeunes filles par an. Quatre
anciennes apprenties travaillent désormais dans ce centre.
· A
Madras: le principe de notre centre de Madras est identique à celui
d’Hyderabad. A Madras, la priorité est donnée aux jeunes filles travaillant
dans la carrière de pierre, toute proche du centre.
Le centre de soins
Situé à Madras, à l’étage de l’immeuble qui abrite le centre
de couture, et donc à proximité d’une carrière de pierre employant de
nombreuses femmes. Un médecin vient plusieurs fois par semaine et une
infirmière est toujours présente au centre. Nous enregistrons une moyenne de
450 visites par an. Pour les soins, nous demandons une petite contribution aux
malades. Cette contribution est de 10 RS par adulte et 5 RS par enfant contre
30 à 50 RS dans un centre régulier. Grâce à cette participation financière,
nous pouvons acheter et distribuer gratuitement des médicaments.
Le centre d’accueil pour bébés
Installé près du bidonville d’Hyderabad, ce centre, ouvert
en 2005, accueille les enfants du bidonville. D’ordinaire, ce sont les grandes
sœurs ou grands frères qui s’occupent des petits. Grâce à notre centre, ces
jeunes peuvent se décharger de la garde des enfants et se rendre à l’école.
Nous accueillons actuellement une vingtaine d’enfants.
Généralités : Les trois homes, entièrement
financés par « Enfants de la Paix » accueillent actuellement 316
enfants. Pour gérer ces homes et encadrer ces enfants, l’asbl emploie 57
Indiens sur place, ce qui procure du travail pour 57 familles. Seul le home
d’Hyderabad a été bâti par l’asbl, les autres structures sont louées par nos
soins.
Tous
les frais incombent à l’asbl « Enfants de la Paix », cela inclut le
loyer et les charges y découlant, le salaire du personnel, la nourriture, les
soins de santé, l’éducation scolaire, l’habillement, etc.
· Le « Weber Child Home » de Malkapur,
Hyderabad
D’abord situé à Hyderabad, ce home, créé en 1991 accueillait
30 enfants dans une maison du centre-ville. Rapidement au maximum de ses
capacités d’accueil, le home a du déménager. « Enfants de la Paix » a alors décidé de construire
un home plus grand à Malkapur. Le « Weber Child Home » a ouvert ses
portes en 1993. Actuellement, ce home accueille 156 enfants et dispose d’une
école en son sein, offrant ainsi un enseignement aux enfants jusqu’en 10e
année, ce qui correspond à notre 3e secondaire. Après cela, les enfants continuent leur
scolarité en dehors du home mais restent résidents au home jusqu’à ce qu’ils
soient capables de se prendre en charge seuls.
Le home dispose également d’un grand terrain qui permet de
cultiver le riz et de faire de l’élevage. Ce travail soulage quelque peu le
coût de la maintenance mensuelle et donne des produits frais aux enfants.
Le
« Weber Child Home de Avaadi », Chennai (Madras)
Ouvert en 1992 et situé à Avaadi depuis quelques années, ce
home accueille 80 enfants dans un bâtiment loué par l’asbl. Contrairement à
Malkapur, les bâtiments ne permettent pas de donner une éducation scolaire
au sein du home. Les enfants fréquentent donc les écoles du village.
·
Le
« Annie Weber Home » de Konduru, Vijayawada
Ce home n’a pas été créé par nos soins. Il existait déjà une
structure d’accueil à Konduru et le responsable avait besoin d’aide pour ce
centre. Depuis lors, nous finançons entièrement ce home qui accueille à l’heure
actuelle 80 enfants. Nous leur offrons également un enseignement jusqu’en 5eme
à l’intérieur du home. Après ils suivent un enseignement dispensé à l’extérieur.
L’Inde
est un des pays moteurs de la mondialisation. C’est aussi un pays qui
concentre à lui seul tous les points négatifs de ce mouvement. Alors
que 80 % de la population vit avec moins de 2 $ par jour en Inde,
presque la moitié des richesses sont consommées par les 20 % les plus
riches.
Dans les campagnes, les adultes sont liés à de riches propriétaires qui
les exploitent. Certains migrent vers les villes, espérant y trouver du
travail. Finalement, des familles se retrouvent dans les banlieues à
vivre dans les bidonvilles. Les femmes effectuent des travaux pénibles,
pendant plus de 10 heures par jour pour un salaire de 9 à 12 € par mois.
Dans ce contexte, les enfants eux-mêmes constituent une source de
revenus supplémentaires pour la famille. Ils travailleront dès leur
plus jeune âge, sans aller à l’école.
« Elever une fille c’est comme arroser le jardin de son voisin » , Proverbe Indien
En
Inde, la naissance d'un garçon est fêtée dans la joie, par des chants
et en offrant des friandises aux amis. Le garçon est "l'assurance vie
des parents". Dans ce pays où il n’existe pas réellement de système de
sécurité sociale, ce sera la tâche du garçon de veiller aux vieux jours
des parents.
Par contre, élever une fille est considéré comme une lourde charge à
cause de la pratique persistante de la dot. De plus, une fois mariée,
la fille appartient à sa belle-famille et n’est pas un soutien pour sa
propre famille. L'arrivée d'une fille est donc souvent vécue comme une
malchance. Les discriminations sont quotidiennes pour les
fillettes :nourriture moins importante, des soins de santé qui
dépendent de l’état des dépenses familiales…
La scolarité des filles n’est donc pas une priorité pour les familles.
Au lieu d’aller à l'école, ou de simplement jouer, elles doivent
veiller sur leurs petits frères et petites sœurs.
Enfants de la Paix est une association d’aide au Sud soutenant l’éducation des enfants en Inde.
Créée en 1981, l'asbl a ouvert trois homes dans lesquels elle recueille environ 300 enfants.
Enfants de la Paix se montre particulièrement sensible au sort des
jeunes filles en Inde. C’est pourquoi elle finance également un centre
de soins pour femmes travaillant dans une carrière de pierres, deux
centres d'apprentissage de couture pour filles non scolarisées et une
crèche dans un bidonville.
Notre souhait ? Offrir à chaque enfant un avenir où il pourra aller à l'école, se soigner, jouer et rire. Un avenir dans lequel il pourra "vivre son enfance".
Une nouvelle façon de découvrir l'ASBL, mais également de connaître toutes les nouveautés de notre association. Nous vous proposerons des photos, des dessins, de nouvelles des homes mais également des enfants.
N'hésitez pas à réagir à nos articles mais également à proposer vos idées pour la bonne tenue de ce blog.
Grégory Fassotte
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Enfants de la Paix
Enfants de la Paix est une association d’aide au Sud soutenant l’éducation des enfants en Inde. Créée en 1981, l'asbl a ouvert trois homes dans lesquels elle recueille environ 300 enfants.
Enfants de la Paix se montre particulièrement sensible au sort d